
BIOGRAPHIE
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“ Jouant sur l’harmonieuse complémentarité des voix, le duo Begli Occhi voile ainsi d’ombres et d’inquiétudes l’évocation solaire des regards que lance le bien aimé. Enfin, l’ornementation fluide au rubato savoureux de La Riamata, la finesse poétique de Costume de Grandi, les basses inquiétantes et les silences évocateurs de Che si Puo Fare inscrivent cette anthologie parmi les mieux inspirées consacrées à la compositrice”.
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Diapason, Denis Morrier
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"La distribution vocale fut, quant à elle, épatante … en passant par la profonde et jubilatoire mezzo Marie-Laure Coenjaerts en magicienne diabolique"
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Bachtrack, Didon et Enée, Purcell, Théâtre des Champs Elysées
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"Le petit rôle du page Stephano avec l'air bien connu "Que fais tu, blanche tourterelle" est interprété avec excellence par la mezzo Marie-Laure Coenjaerts."
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Operamagazine, Roméo et Juliette, Gounod, ORW
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"L'air Que fais-tu, blanche tourterelle interprété par Marie-Laure Coenjaerts constitue un moment fort de la soirée…"
Online Musik, Roméo et Juliette, Gounod, ORW
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"A la grâce naturelle et au timbre cuivré de la révérende mère supérieure, Marie-Laure Coenjaerts, un être lumineux et généreux"
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Seniorsmag, la Mélodie du Bonheur
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"La distribution comporte également deux chanteurs formés en Belgique, Marie-Laure Coenjaerts qui se distingue de belle façon en Pisana."​
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Concertonet, I Due Foscari, Verdi, ORW
"Certaines personnalités s'illustrent particulièrement. Marie-Laure Coenjaerts apporte au personnage de l'enfant une consistance illustrant subtilement la complexité de la psychologie enfantine."
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Resmusica, L'Enfant et les sortilèges, Ravel, OPL
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Mezzo-soprano belge, Marie-Laure Coenjaerts mène une carrière éclectique entre opéra, musique ancienne, création contemporaine et comédie musicale. Diplômée du Conservatoire Royal de Mons et de la Haute École de Musique de Genève dans la classe de Danielle Borst, elle se distingue par sa sensibilité scénique et la richesse de son répertoire.
Elle collabore avec des chefs prestigieux : Thomas Rösner (Orlando Paladino de Haydn), Leonardo García Alarcón (L’Incoronazione di Poppea de Monteverdi), Pascal Rophé (L’Enfant et les Sortilèges de Ravel), Ton Koopman (cantates de Bach), Patrick Davin (Manon de Massenet, Roméo et Juliette de Gounod), Paolo Arrivabeni (I Due Foscari de Verdi) et Jean-Claude Malgoire (Didon et Enée, Vespro della Beata Vergine). Elle se produit à l’Opéra Royal de Wallonie, au BFM de Genève, au Festival d’Ambronay, au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et de Charleroi, et au Théâtre des Champs-Élysées à Paris.
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En 2025, elle poursuit sa collaboration avec l'ensemble Vox Luminis, le Chœur de Chambre de Namur et le projet D.I.V.A., et enregistre un nouvel album consacré au thème de la vanité sous la direction de Gabriel Garrido.
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En 2024, elle chante pour la première fois avec Vox Luminis à Magdeburg, retrouve le Chœur de Chambre de Namur, enregistre du Carissimi sous la direction de Gabriel Garrido, et interprète les Sept Paroles du Christ en Croix de Dubois à Bruxelles ainsi que le Requiem de Mozart à Liège. Elle participe également à la création Versailles de la compagnie Dérivation, en tournée à La Louvière, Nivelles et au Théâtre des Martyrs à Bruxelles.
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L’année précédente, elle s’illustre au Monténégro, au Festival d’Avignon pour vingt représentations de D.I.V.A. – Opus 2, au Théâtre des Champs-Élysées avec le Chœur de Chambre de Namur, à La Nouvelle Ève à Paris pour une nouvelle série du même spectacle, et en Asie pour 26 représentations des Misérables en concert, dans le rôle de Fantine.
En 2022, elle enregistre un album autour de Barbara Strozzi avec son ensemble Il Segreto delle Muse, dirigé par Gabriel Garrido (sorti chez Pan Classics en 2024).
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En 2021, elle fait ses débuts avec Michel Piquemal à Paris dans Gallia de Gounod et l’Oratorio de Noël de Saint-Saëns. Deux ans plus tôt, elle part en tournée en Corée du Sud avec Les Misérables en concert et interprète à Bruxelles le Membra Jesu Nostri de Buxtehude avec les Chœurs de l’Union Européenne.
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2018 marque son entrée dans l’aventure D.I.V.A., un spectacle lyrique décalé présenté au Théâtre Montparnasse à Paris, au Royal Albert Hall de Londres, et au Festival Un Violon sur le Sable à Royan. Le projet tourne cinq ans et totalise 130 représentations. Elle y côtoie aussi le répertoire de concert avec les Folk Songs de Berio aux côtés de l’ensemble Sturm und Klang (Festival de Wallonie), et les Vêpres de Monteverdi à Montpellier avec Gabriel Garrido.
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En 2017, elle incarne Belinda dans Didon et Enée (dir. Garrido), chante le Requiem de Mozart, Les Plaisirs de Versailles de Charpentier, et participe à une tournée des Zéniths de France et au Palais des Congrès de Paris avec Les Misérables en concert. L’année précédente, elle se produit au Théâtre des Champs-Élysées dans Didon et Enée de Purcell, sous la direction de Jean-Claude Malgoire, dans les rôles de la sorcière et de l’esprit.
En 2015, elle enregistre un disque de lieder de Brahms, Schubert et Schumann avec le pianiste Philippe Raskin, et fait ses débuts en comédie musicale dans le rôle de la Mère Abbesse de La Mélodie du Bonheur.
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Musicienne complète, elle explore un répertoire allant de la musique ancienne à la création contemporaine. Elle entre dans la musique à huit ans par le violon, puis se forme à la diction, au théâtre et au chant lyrique en académie.
En 2001, elle rejoint l’École Internationale de Théâtre Lassaad, avant de poursuivre sa formation vocale au Conservatoire Royal de Mons avec Thierry Migliorini, puis à la Haute École de Musique de Genève dans la classe de Danielle Borst, où elle obtient son Master.
Parallèlement à sa carrière scénique, Marie-Laure Coenjaerts est aussi pédagogue : elle enseigne le chant lyrique à Arts² (Mons) et la comédie musicale à l’école LNB (Paris).